Posted on décembre 31, 2024
31 décembre au Théâtre : Une soirée inoubliable avec le légendaire duo Boul’Art (et une flopée de surprises douteuses)

Préparez vos cœurs (fragiles), vos oreilles (innocentes) et vos poppers (parce que franchement, il va en falloir) : ce 31 décembre, le Théâtre se transforme en épicentre du chaos sonore pour accueillir le très célèbre (autoproclamé, bien sûr) duo de producteurs musicaux Boul’Art.
Boul’Art : Des producteurs ou des pyromanes musicaux ?
Ce duo révolutionnaire – ou révoltant, selon les goûts – revient avec un set qui promet d’être aussi dérangeant que captivant. Imaginez une musique si poignante qu’elle fait pleurer les enfants… mais de désespoir. Le genre de son qui ferait reconsidérer à une église l’idée même de rester debout. Oui, leur mélange unique de beats abrasifs et de mélodies étrangement addictives saura vous faire douter de votre santé mentale et de la pertinence de vos choix de vie.
Entre beats désarticulés et mélodies qui donnent envie de changer de salle, ils offrent une expérience unique, comparable à un vin de mauvaise cuvée : ça pique, mais on continue de boire.
Et pourtant, entre deux morceaux étranges, il y a un charme inexplicable dans leur chaos. Peut-être est-ce leur authenticité ? Peut-être est-ce le poppers ? Qui sait.
Et que dire de leur sobriété légendaire ? Il paraît que Boul’Art est sobre cette année… enfin, à peu près autant qu’un verre de punch à la fin de la soirée. Mais qu’importe, car ce qui leur manque en maîtrise musicale, ils le compensent avec un charisme aussi explosif qu’un pétard mouillé.
Mais attendez, ce n’est pas tout ! Car qui dit Boul’Art, dit… interludes ! Parce qu’un set presque sobre de ce duo chaotique ne serait pas complet sans les fameuses pauses :
- Tours de magie réalisés par des prestidigitateurs amateurs ou par un stagiaire sous-payé (on ne sait plus très bien).
- Bras de fer alcoolisé : spoiler, les perdants devront boire un cocktail signé Boul’Art (aka du poppers dilué avec du rhum).
- Concours de jeu à gratter, parce que pourquoi miser sur le talent quand on peut gratter sa chance ?
- Et surtout, le spectacle de bolas enflammées de Momo, notre guest star dont le talent réel fera oublier, pour un instant, l’ampleur du chaos ambiant. Ses mouvements hypnotiques et son feu sacré sauront raviver vos esprits fatigués. Merci, Momo, d’être notre phare dans la tempête.
Ne manquez pas cette occasion unique de passer le réveillon avec un duo qui fait parler, même si c’est rarement en bien. Venez pour l’ambiance électrique, restez pour le chaos absolu, et partez avec l’impression d’avoir vécu quelque chose de… mémorable ? Après tout, la musique de Boul’Art a ce don rare de rester gravée dans les esprits – comme un cauchemar récurrent.
Alors, si vous n’avez pas peur de finir la soirée avec des acouphènes, un traumatisme sonore et une gueule de bois (émotionnelle ou autre), venez célébrer le passage à 2025 avec Boul’Art. Et si vous survivez, vous pourrez peut-être même dire : « J’y étais. » Pas sûr que ce soit une fierté, mais bon…
Après les avoir vu en festival cet été j’y ai laissé un morceau de santé mentale. Je les vois partout, j’ai l’impression qu’ils me suivent. Ce duo est dangereux,il sont a la musique ce que le duo Laspalès est à l’humour.
De plus, l’IST mentale qu’ils m’ont filé a du mal a se résorber. C’est comme si un rat qui avait des dents pas aiguisées vous mangeait le cerveau…
Un jour il payerons, le mal ne peut pas rester impuni…